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Nakajima Michiko. 01

Photo de Nakajima-Michiko

Nakajima-Michiko

Blog secret

Description :

Nakajima Michiko est à la fois mon nom d'auteur et mon nom japonais.
C'est avec ce nom que je tiendrai ce blog.

(\__/)
(='.'=)
(")_(")
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One Shot Kosuke

Et dire que j'avais décidé de prendre des résolutions et de me coucher plus tôt.
Tu parles !
C'est tout juste si je n'étais pas allé me coucher encore plus tard que d'habitude.
Il allait vraiment falloir que j'arrête mes conneries un jour ou l'autre si je ne voulais pas finir avec des poches sous les yeux.
Hideaki Kosuke, sort tes fesses de ce lit !
Dans un élan de courage, je trainais mon corps hors de la chambre et je traversais mon couloir en commun avec mon ainé pour atteindre notre salle de bain.
Je ne fus même pas étonné de voir ce dernier déjà douché et déjà habillé, je me contentais simplement de la saluer de la main.
Il me répondit d'un même salut militaire que le mien avec un sourire en coin avant de me lancer ma serviette que je rattrapais.
Kenta : Allez dépêches. On doit manger et aller courir.
Moi : Relax, Kimiyo et Kazumi sont pas prêtes de sortir de leur salle de bain.
Kenta : C'est toi qui vois.
Mon frère me tapota l'épaule en me dépassant puis il sortit pour me laisser la salle de bain.
Il ne fallait pas se lancer dans des études approfondies pour savoir comment prendre une douche et avec quoi se laver.
De l'eau était de l'eau et du savon, du savon hein.
Je me mouillais entièrement avant de me savonner et de me faire un shampooing puis je me rinçais.
Emballé c'est pesé !
Pareil pour les cheveux et le reste, il ne fallait pas avoir de nombreux diplômes pour savoir se débrouillé.
Une fois habillé, j'allais me placer en face du miroir pour me brosser les dents en premier temps puis j'attrapais de quoi hydrater mes cheveux avant de me coiffer.
Un peigne était un peigne et un déodorant un déodorant, point barre.
Je n'aimais vraiment pas me prendre la tête avec de petits détails alors que la vie réservait bien d'autres soucis.
Une fois l'épreuve de la salle de bain passé, je retraversait le couloir pour rejoindre le principal qui donnait sur les chambres de mes s½urs et leur salle de bain commune juste en face.
Je m'étais déjà engagé dans le principal, donnant le dos à ce dernier quand plusieurs paires de mains vinrent m'attraper.
Moi : Pas question !!
 
Je descendis au bout d'une dizaine de minutes avec la tronche du type ultra blasé par excellence et en entrant dans la cuisine, je tombais sur la plupart des guépards déjà à table pour le petit déjeuner.
C'est un bonjour tout aussi blasé qui sortit de ma bouche alors que j'inclinais la tête en m'avançant vers eux.
... : Comme tu sens bon Kosuke. Et tu as un teint... Impeccable !
Kosuke : Fermes la.
Je venais de le lui glisser en murmurant mais cela n'empêcha pas à Guan-Yin de l'entendre et de me faire de gros yeux.
Forcément, depuis qu'elle était devenue une changeforme elle aussi, elle pouvait entendre tous les pics que j'échangeais avec la fille du second des guépards.
Kosuke : Je voulais dire... Mais comme tu es gentille Yoshiko.
Yoshiko : C'est très mignon un garçon qui prend soin de lui.
Armé de mon plus beau sourire de faux cul, je pris place à côté de Kenta sous les yeux de mon père qui secouait doucement la tête avant de sourire amusé.
Je le regardais débord avant de répondre par un même sourire.
J'étais très proche de mon père pour un fils d'alpha et j'en étais à la fois fier et heureux car je savais que j'étais chanceux.
Mère : Je vois que tes s½urs t'ont encore attrapé.
Kosuke : Forcément, elles admirent déjà tellement Kenta que c'est toujours sur moi que ça tombe chaque matin.
Petite explication pour ceux qui n'auraient pas suivi et je ne vous dis pas bravo, mes deux s½urs jumelles me prenais pour leur cobaye.
Kazumi étudiait pour devenir créatrice de soins et de parfums pour les personnes malades.
Est-ce que j'avais vraiment la tronche d'un malade pour qu'elle me choppe tous les matins avec l'aide de Kimiyo ?
Franchement !
Tout en soupirant, j'attrapais un petit pain préparé par notre merveilleuse Guan-Yin puis je le coupais en deux dans l'espoir de les tartiner de chocolat.
Mes yeux commencèrent à parcourir les nombreuses choses qui se trouvaient en centre de table sans trouver ce que je voulais.
Mon odorat prit le relais pour aller plus vite et mon regard se tourna aussitôt vers l'une des personne à table qui commença à me narguer avec le pot en main.
Ce fut tout sourire que Yoshiko continua de secouer le Nutella tout en se frottant le ventre sous les yeux amusé de son frère Masato assis près d'elle.
Masato : Tu le cherches trop.
Moi : Donnes moi ce pot de Nutella.
Yoshiko : J'ai pas bien entendu.
Je penchais légèrement la tête sur le côté tout en plantant mon regard dans le sien puis je le lui demandais dans tout un cérémonial.
Yoshiko : Tu sais que si tu continues comme ça et que tu t'expose au soleil, tu finiras par fondre ? Cette fois ce ne sera pas un bonhomme de neige mais un bonhomme d'huile de palme.
L'ensemble de la table éclata de rire et Yoshiko lâcha le pot pour saluer comme une miss qu'on venait tout juste de proclamer.
Maintenant !
Je me jetais littéralement au dessus de la table pour saisir le pot et je me reculais tout aussi vite en le débouchant avant même de me rasseoir.
Ce n'était pas que j'avais faim, c'était plutôt que je crevais de faim !
Je me mis à tartiner rapidement mon pain avant de le tremper dans du chocolat chaud et juste au moment où j'en prenais une première bouchée, la fille de Sora et Natsumi arriva suivie de près par le fils de Takumi et Amiri.
Même s'ils ne l'exprimaient pas clairement et venaient de s'asseoir de façon assez éloigné l'un de l'autre, ces deux là étaient imprégnés et ça se voyait même à des kilomètres.
Finalement, mes deux soeurs songèrent enfin que nous les attendions et elles me firent de grand sourire en entrant.
Ces demoiselles étaient visiblement fières de leur travail et étaient encore en train d'admirer le résultat.
Tsss.
 
Après notre course quotidienne du matin et m'être à nouveau douché, je fis le pied de grue dans le couloir principal devant celui qui menait aux chambre de mes s½urs.
Kazumi et Kimiyo sortaient toujours beaucoup plus vite de la salle de bain à cette heure-ci donc je savais que je n'avais pas trop longtemps à les attendre.
Nos parents arrivèrent ce moment dans le couloir principal et mes s½urs se jetèrent à leurs cous comme elles l'avaient toujours fait depuis toutes petites.
Mère : Je passerai vous chercher à la fin de vos cours qu'on aille prendre un verre en ville les filles.
Moi : Que les filles ?
Mère : C'est prévu que je récupère Amasa et Yoshiko aussi.
Moi : Ah bon ? Du favoritisme ?
Père : Je ne te le fais pas dire...
Kimiyo : Maman, tu sens cette odeur ?
Kazumi : Tu sais ce que c'est ?
Mère : Je ne sais pas. J'aurai tendance à dire de la jalousie.
Ces trois dernières commencèrent à rire entre elles avant de partir vers l'autre bout du couloir en me laissant planté là avec mon père.
Ce dernier croisa simplement les bras, fidèle à lui même et toujours aussi classe puis d'un signe de tête, il me fit signe de venir avec lui.
Nous commençâmes à marcher nous aussi bers les escaliers situés à l'autre bout du couloir.
Kenta était celui de nous deux qui ressemblait le plus à notre père aussi bien le physique que le comportement.
Il avait à peine le teint plus clair que l'alpha, des cheveux noirs coiffés en bataille avec des reflets châtains foncés et surtout, il avait la classe de notre père et le charisme de notre mère quoi qu'il fasse et même s'il gardait la bouche fermée.
Physiquement, j'étais simplement légèrement plus court que lui et j'avais les cheveux châtains foncés en plus d'avoir les yeux d'un marron un peu plus clairs que ceux de mon ainé.
Ma mère trouvait que j'avais le teint plus clair que Kenta et que j'avais des tendances à charmer assez souvent comme mon père mais avec un humour assez noir parfois qui ressemblait à elle d'après ce dernier.
Père : Tu vas t'entrainer avec Kenta tout à l'heure ?
Moi : Hm.
Père : Kenta et toi êtes très doués. Et c'est bien que vous ayez de quoi vous déconnecter et en même temps vous dépenser.
Moi : C'est parce que tu nous as permis de le faire.
Père : Pourquoi je vous l'aurais interdis ? Quel aurait été l'intérêt ?
Moi : Si tous les pères dans le monde raisonnaient comme toi ça éviterait d'avoir autant de dégénérés.
L'alpha des guépards eut un sourire en coin tandis que nous arrivions en haut des escaliers et il m'ébouriffa les cheveux avant de descendre en premier.
J'aimais sincèrement mon père et à chaque fois que je m'étais apprêté à faire des bêtises, je pensais à lui pour me reprendre à temps.
 
C'est avec le second des guépards que j'étais parti pour une nouvelle journée d'apprentissage.
En ce moment, j'étais plus avec mon formateur qu'en cours pour me perfectionner mais c'était comme ça que mes études fonctionnaient après tout.
Je faisais parti de ceux qui n'arrivaient pas à rester assis plus d'une heure sur une chaise, il n'y avait rien de plus formateur que d'être sur le terrain pour moi.
Même si je reconnaissais que le théorique était une base dont on ne pouvait pas se baser si on voulait faire du bon travail.
Mais suivre Yoshio et être formé par lui était vraiment agréable.
A la fois parce qu'il me connaissait mais aussi parce qu'il aimait son travail et y mettait son c½ur peu importe le temps que ça lui prenait.
Nous étions actuellement dans un grand magasin de vêtement tenu par l'ancien alpha des lynx et qui comptaient plusieurs boutiques au Japon.
J'avais appris par le fils de l'alpha actuel des lynx que le nom était en fait celui de sa grand-mère paternelle qui en était la fondatrice.
Sa compagne y travaillait d'ailleurs en tant que styliste pour l'une de leur marque, Triangle. 02.
La compagne de Yoshio y travaillait elle aussi et créait des vêtements pour femmes.
Après l'avoir accompagnée dans les locaux réservés à la marque Triangle. 02, nous nous rendîmes dans des locaux pour le moment vides qui devaient prochainement accueillir une autre marque qui serait officiellement au nom de Shizuka Corporation.
Nous avions reçu les attentes de l'ancien alpha des lynx et nous allions maintenant lui dévoiler nos différents plans.
J'étais un peu stressé parce que pour cette fois, Yoshio m'avait donné son feu vert pour que j'en fasse une bonne partie et la présence l'alpha des lynx en plus ne me rassura pas vraiment.
Juste à côté de lui, sa compagne enlaçait son bras dans le sien alors qu'il gardait ses mains dans ses poches à nous regarder tout comme elle.
Il était classe lui aussi...
Yoshio : Voici les plans, comme promis.
Hiroshi : Toujours dans les temps à ce que je vois.
Juste après avoir glissé ce compliment au second des guépards, l'alpha des lynx échangea un regard complice avec sa compagne et je les regardais se sourire tendrement.
Toba prit le dossier et l'ouvrit en laissant ces deux derniers regarder eux aussi de façon très attentive.
Le trio s'échangea plusieurs regards au fur et à mesure et je me mis à stresser un peu plus.
Hiroshi : Qu'est-ce que tu en penses ?
Toba : A toi de me dire. C'est toi qui es doué en déco aussi.
Hiroshi : Je trouve ça très bien pour l'esprit de cette nouvelle marque. J'aime beaucoup le style de de l'éclairage.
Michiko : C'est très joli.
Yoshio : Je suis d'autant plus content que ça vous plaise puisque ce n'est que très peu de moi. Kosuke a fait les trois quart des plans sous vos yeux.
Michiko : Vraiment ? Bravo, c'est très réussi.
Hiroshi : Je suis du même avis.
Plus que rassuré, je ne perdis pas de temps à m'incliner respectueusement avant de leur glisser un petit "merci".
Le second de mon père me tapota l'épaule pour me féliciter de mon travail dont j'étais très fier pour le coup.
Toba : Merci pour ton excellent travail. J'espère que nous aurons bientôt l'occasion de le voir en vrai.
Michiko : Ça tombe bien, il me semble qu'Haori se tourne assez régulièrement les puces dernièrement c'est qu'il va pouvoir venir faire les travaux.
L'alpha des lynx se mit à rire légèrement suite à la petite taquinerie de sa compagne en réalité en très bon terme avec le concerné.
Yoshio et moi ne restâmes pas plus longtemps en leur compagnie, il nous restais encore des plans à faire pour d'autres clients.
 
Après avoir traversé la ville et gagné les hauteurs, nous descendîmes de la voiture avec de nouveaux plans pour notre prochain client qui vint nous ouvrir.
Ce dernier n'était autre que le roi des changeformes du Japon.
En plus d'avoir un quartier de son manoir littéralement défoncé par sa compagne et ses filles lors d'un jeu avec lui qui avait été un peu trop loin, Sa Majesté souhaitait faire une surprise à leur cadette.
Le projet consistait à refaire toute la chambre et le bureau de Shion avant sa prochaine venue au manoir.
Yoshio s'était donné à fond pour ce projet pendant que je m'étais occupé de celui de la boutique, lui qui avait juré aux deux fils du roi qu'il les protégerait toujours.
Kawada : Je pense sincèrement que Shion aimera. Ça lui ressemble bien.
Rina : Sans vouloir te vexer Yoshio, je pense que ce qui lui plaira encore plus c'est le dressing complet que tu vas lui faire.
Kawada : La pièce qui doit être utilisée à déjà été vidée.
Yoshio : Parfait. Il ne nous restera plus qu'à faire une arche pour donner dessus. Le reste ira très vite.
Rina : Je peux t'aider.
Kawada : Pardon ? Pas question, tu vas juste réussir à te blesser avec les outils.
Rina : Mais non, tu ne comprends rien. D'abord, je n'ai pas besoin d'outils pour le faire et ensuite, tu pourrais au moins me laisser faire ce que je sais faire. C'est à dire détruire.
Kawada : C'est vrai que tu ne sais faire que ça après tout.
... : Je suis rentrée !
La voix de Nira interrompit au bon moment la compagne de Sa Majesté qui retroussait ses manches dans l'intention d'en coller une au roi.
Elle se leva aussitôt avec lui pour aller à l'entrée du salon et lui souhaiter la bienvenue.
Ils revinrent s'asseoir avec elle et après que nous ne sous soyons inclinés pour la saluer, elle regarda les plans avec ses parents.
Nira : C'est super beau...
Yoshio : Si ça vous plait, je peux aussi refaire vos appartements.
Nira : Arrêtes de me vouvoyer Yoshio.
Le second des guépards inclina la tête pour s'excuser même s'il comptait bien continuer en présence de Sa Majesté.
Je le comprenais, j'en faisais toujours de même avec Shion et Nira tant qu'il était là avec sa compagne.
Alors que j'allais suivre Yoshio et les propriétaires des lieux à l'étage pour aller voir les appartements de Shion, je sentis Nira me retenir par le bras et me tirer dans la cuisine.
Elle me servit une canette de soda avec un verre avant de se prendre la même chose.
Nira : Tu as de la chance d'avoir Yoshio comme mentor. Il est vraiment sympa.
Moi : Ce n'est pas pour autant qu'il va me laisser me faire un billard sur les heures où on doit bosser.
Nira : Je m'en doute mais c'est normal.
Moi : Oui mais de toute façon je ne vois jamais les heures passer quand je travaille avec lui. En revanche, à l'université...
Ma phrase non terminée et ma grimace pour laisser supposer la suite fit sourire Nira qui ne tarda pas à boire une autre gorgée de son soda.
Je m'entendais assez bien avec elle mais celle avec qui je délirais le plus était sa petite s½ur.
Et d'ailleurs, Nira elle était aussi plus de paire avec Kenta.
Enfin sauf ces dernières années où ils avaient arrêté d'être tout le temps fourrés ensemble.
Nira : Kazumi et Kimiyo vont bien ?
Moi : Elles pètent la forme. Tu veux me demander quoi au juste ?
Nira : Est-ce que tu pourrais parler à Kenta ?
Moi : Lui parler ?
Nira : Hm. Je lui ai proposé qu'on se voit demain mais il ne donne pas de nouvelles.
Ne me dîtes pas qu'il allait encore se défiler au dernier moment...
Je ne savais pas ce qui lui arrivait dès qu'il s'agissait de voir Nira mais Kenta finissait toujours pas annuler.
Moi : Je vois ce que tu veux dire. Je m'en occupe, ne t'en fais pas.
Nira : Merci.
 
Ma journée avec Yoshio passa assez vite et il me laissa partir à l'heure pour me rendre à l'entrainement de danse où j'arrivais en même temps les autres.
Ce n'était pas trop le moment de lui parler de ce que Nira m'avait demandé et de toute façon... Il n'était pas là.
Nous allâmes rapidement nous changer et le cours débuta rapidement avec le second des hyènes tandis que sa compagne vint rapidement nous rejoindre.
Nous étions encore à la chorégraphie de groupe qui nous servait d'échauffement après les entrainements quand je sentis son odeur approcher.
Il entra, visiblement après avoir sprinté et s'excusa auprès de nos mentors qui lui firent signe de nous rejoindre.
Mon ainé nous observa d'abord pour savoir à quel passage nous en étions et pile au moment où nous devions faire un pas en arrière, Kenta sprinta pour venir se placer entre le fils de l'alpha des lynx et moi comme d'habitude puis il enchaina les autres pas avec nous comme s'il n'avait rien manqué.
Moi : Mais où est-ce que t'étais passé ?
Kenta : T'inquiètes.
On aurait dit que le directeur de son université l'avait encore retenu pour revoir avec lui son choix pour la suite de ses études.
Comme nos parents tenaient une clinique où l'alpha des lynx et le lieutenant des lions venaient aussi travailler, Kenta n'avait pas besoin d'aller en internat dans un hopital loin de la maison.
Il lui suffisait d'y rester pour être formé dans différents domaines et si certains se montraient réticent à ce qu'ils s'agisse de nos parents eh bien il restait toujours ces deux derniers en plus de la reine qui venait quelques fois voir certains patients.
Tout en terminant notre cours d'à peu près 2h, je jetais un ½il vers Kenta placé à l'autre bout de la salle avec le fils de nos mentors pour danser ensemble.
Mon ainé avait tellement de classe et de charisme que ça en donnait des frissons...
Il était génial.
En me rendant aux vestiaires avec notre petite troupe, je me demandais si monter un groupe ensemble ne serait pas une bonne idée.
Le sujet avait plusieurs fois été évoqué mais plus sur le ton de la plaisanterie.
Pourtant, je me serais bien laissé tenté mais uniquement si nous restions tous les 9 ensemble.
La surprise du jour fut de voir notre près venir nous chercher pour nous ramener à la maison où nous constatâmes que les filles n'étaient pas encore rentrées.
Et profitant aussi du fait que Guan-Yin soit avec elle, nous commençâmes tous les trois à préparer le repas en nous faisant bien évidemment reprendre par la gouvernante quand elle rentra alors que nous terminions.
Yoshiko : Non, c'est toi qui a cuisiné ? Est-ce que je peux avoir un antidote en boisson ? On ne sait jamais avec ce type au fourneaux...
Moi : Hoy ! Je te signale que je cuisine assez souvent et personne n'en est mort jusque là.
Yoshiko : Un miracle.
Moi : Guéparde médisante.
En réponse, la concernée cogna simplement son épaule à mon bras avant de relever son regard dans le mien.
Nous nous échangeâmes un sourire complice sous les regards des autres habitants présents puis Yoshiko monta pour aller dans sa chambre poser ses affaires
Masato : Fais gaffe, légalement ce que tu t'apprête à faire peut être considéré comme du détournement de mineur. Tu es bientôt majeur.
Moi : Idiot...
C'est bien le seul détail qui me retenait encore d'aller plus loin avec Yoshiko, de lui dire clairement ce que je ressentais et de lui montrer.
Ce n'était un secret pour personne, j'aimais Yoshiko et j'en étais imprégné.
Elle savait ce qui me bloquait et en attendant que ce détail ne me perturbe plus, elle jouait au chat et à la souris avec moi.
Contrairement à d'autres filles qui craquaient pour moi sans même me connaitre et avaient tendance à me taper sur les nerfs à force d'épier les moindres de mes faits et gestes, la fille du second semblait immunisée contre mon charme et n'hésitait pas à me remballer.
Et en parlant de fille, je n'avais pas oubliée ce que m'avait demandé Nira.
J'attendais juste le bon moment pour faire plus que parler à mon ainé.
Une fois que le repas fut terminé, que tout fut lavé et rangé et que chaque habitant parti à ses occupations, je passais d'abord par ma chambre ranger mon linge propre.
Une fois cela fait, je sortis et aller frapper à la porte de mon frère que j'entendis répondre positivement.
Kosuke mode radio : ON.
Tags : One Shot
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#Posté le jeudi 01 septembre 2016 20:33

Modifié le jeudi 08 septembre 2016 15:02

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ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 05:26

Et voilà l'OS sur Shion

J’étais rentrée pour quelques jours seulement comme d’habitude.
J’avais un peu plus de temps comme mes examens approchaient alors j’en profitais pour retourner sur Tokyo et passais du temps avec ma famille.
Je me pris un des coussins du salon en pleine face.
Je regardais le lion qui souriait, fière de lui.
Hisaka.
Le fils du second de notre père.
Moi : Ca t’amuse ?
Hisaka : Bien sûr sinon je ne le ferai pas.
Je lui renvoyais mais il esquiva.
Hisaka : Tu restes combien de temps cette fois-ci ?
Moi : Pourquoi ?
Hisaka : Tu peux me le dire non ?
Moi : Je vais te manquer c’est ça alors tu veux t’y préparer psychologiquement ?
Hisaka : Qui a dis que tu allais me manquer ? C’est plutôt moi qui devrait dire ça.
Hisaka me plaisait, beaucoup mais avec la distance qui nous séparait je ne voulais rien lui dire pour l’instant.
Je ne savais pas si je lui plaisais et après tout Hisaka était taquin avec tout le monde alors…
Hisaka : Hoy.
Je le regardais.
Moi : Où est Syohei ?
Hisaka : Bah t’as qu’à dire que tu t’ennuis avec moi aussi.
Il croisa les bras comme un enfant vexé.
Moi : Je dis ça puisque vous êtes toujours fourrés ensemble normalement.
Hisaka : Tu faisais partis du lot avant que tu ne partes étudier ailleurs.
Moi : Être loin de Tokyo me fait du bien.
Hisaka : Tant mieux pour toi.
Pourquoi est-ce qu’il me répondait sur ce ton ?
La porte du manoir s’ouvrit et en sentant l’odeur de celui qui passa le pas de la porte, je me levais du canapé et allais l’accueillir.
Syohei esquissa un sourire en me voyant et j’en fis de même.
Moi : Je suis rentrée.
Syohei : Je vois ça. Bon retour parmi nous.
Moi : Merci.
Syohei : Tu restes combien de temps ?
Moi : Je repars demain.
Hisaka : Je te l’ai demandé et tu m’as même pas répondus ! Merci le favoritisme !
Syohei : Il est de mauvais poil on dirait.
Moi : C’est sûr.
Hisaka : Je vous entend très bien et je ne le suis pas.
Syohei et moi esquissâmes un sourire amusé.
Il n’y avait pas que l’odeur de Syohei sur ses vêtements mais aussi celle de…
Moi : Erina.
Syohei me regarda surprit.
Moi : Tu étais avec elle, non ?
Syohei : On doit faire un exposé tous les deux alors oui.
Erina plaisait à Syohei et la raison pour laquelle il ne lui avait toujours pas dis m’étais encore inconnue et le jeune lion n’était pas tellement bavard sur ce sujet.
Hisaka nous rejoignit dans le hall puis il posa son bras sur mon épaule.
Je le regardais.
Hisaka : Quoi ?
Moi : Ca va ?
Hisaka : Très bien.
Je dégageais son bras de mon épaule.
Syohei : Et si on sortait, on ne va pas restait ici tout le temps où tu es là.
Moi : Ok, allons en ville.
Nous sortîmes tous les trois du manoir puis nous marchâmes dans l’allée et nous passâmes le portail.
J’étais proches des deux lions mais surtout de Hisaka.
Nous avions pratiquement le même âge et nous étions toujours fourrés ensemble petits puis quand Syohei est né, notre duo devint un trio.
Le temps passa vite, trop vite à mon goût mais j’avais le choix d’aller étudier ailleurs et je ne le regretterai pas puis après tout je reviendrai ici une fois mes études terminées et…
Je regardais Hisaka qui était en train de boire sa boisson.
On verra bien la suite.
Syohei m’observa du coin de l’½il, je détournais le regard puis je bus moi aussi ma boisson.
Nous décidâmes tous les trois d’aller au parc d’attractions.
Les gens me reconnaissaient, après tout j’étais la fille cadette du roi des changeformes du Japon mais je ne prêtais pas attention aux regards qu’ils me lançaient ou aux commentaires qu’ils faisaient.
J’étais fière d’être une changeforme et d’être la fille de mes parents peu m’importais ce que eux pouvaient penser.
Syohei : On commence par quoi ?
Moi : Le grand huit.
Hisaka : Non mais t’es malade ?! Et si le truc se casse hein ?
Moi : T’es en train d’insinuer ou quoi là ?
Hisaka : Le prend pas pour toi mais je n’ai pas confiance en ce truc. Imaginez que le propriétaire du manège soit radin et qu’il entretient pas hein. On est pas à l’abri d’un accident.
Syohei et moi échangeâmes un regard.
Moi : Dis clairement que tu as le vertige.
Hisaka : Je n’ai pas le vertige.
Moi : Syohei ?
Syohei : Oui, Shion ?
Moi : Allons-y.
Syohei : Bien princesse.
Il me tendit son bras et je le pris.
Nous éclatâmes de rire tous les deux en nous mettant à marcher alors que Hisaka pestait derrière nous.
Je délirais bien avec Syohei mais je le faisais aussi très bien avec le deuxième fils de l’alpha des guépards : Kosùke.
Il faudrait que je vienne ici avec lui aussi.
Je sentis une main me prendre le poignet et je tournais mon regard vers Hisaka qui garda le sien détournais.
Il me tenait comme si il avait peur de se perdre au milieu de la foule.
Nous arrivâmes enfin devant le grand huit et heureusement pour nous, nous dûmes pas attendre longtemps pour y monter.
Les wagons étaient seulement pour deux personnes alors Syohei laissa Hisaka s’asseoir à côté de moi puis le jeune le lion s’installa sur celui de derrière.
Bon ok, Syohei m’avait grillé mais il ne disait rien et si j’avais envie de parler je savais que je pouvais compter sur lui. C’était un ami loyale et un garçon très gentil.
Je regardais Hisaka qui sentait le stresse à des kilomètres.
Moi : Tu peux toujours descendre.
Il allait me répondre mais l’homme qui s’occupait du grand huit vint abaisser les barres de sécurité avant d’annoncer le départ.
Moi : Ha bah non en faite.
Hisaka : T’es sûre que ça va tenir ?
Je lui tapotais l’épaule.
Moi : On ne sait jamais.
Syohei : Shion.
Moi : Désolée.
J’esquissais un sourire pour rassurer Hisaka.
Les wagons se mirent en mouvements et Hisaka attrapa tout de suite ma main ce qui me fit rougir.
Il avait vraiment le vertige mais il le faisait quand même…
Quelques minutes plus tard, nous descendîmes des wagons puis de l’attraction.
Hisaka était en mode zombi et il me tenait toujours la main.
Il n’avait pas grillé durant les minutes qu’avaient duré le manège mais en revanche il n’avait pas lâché ma main une seule fois et la serrait chaque fois un peu plus.
Syohei : Il va rester dans cet état longtemps…
Moi : On dirait bien.
Hisaka : Je ne veux plus jamais monter sur ce truc.
Moi : Oh il reprend ses esprits.
Syohei : On dirait bien.
Hisaka : Fermez la.
Nous rigolâmes tous les deux puis nous décidâmes de faire quelque chose de moins…vertigineux pour que Hisaka ne refasse pas le zombi.
La nuit tombée, nous étions rentrés chacun chez nos parents.
Après m’être douchée et changée, j’en profitais pour aller discuter un peu avec ma grande s½ur.
Nous étions proches toutes les deux et même si les kilomètres nous séparaient, nous nous appelions aussi souvent qu’on le pouvait.
Je la sentais changé mais Nira cachait très bien ses émotions et si elle décidait de ne rien vous dire alors pouviez toujours l’interroger cette fille était une tombe quand elle s’y mettait.

Le lendemain je faisais déjà ma valise.
Je passais par la chambre de ma s½ur pour lui dire au revoir et je la vis devant son armoire sans bouger.
Elle restait là à fixer ses vêtements.
D’habitude, Nira fait vite son choix quant à la tenue qu’elle porterait mais là c’est comme si elle se demandait si ses vêtements allaient plaire à quelqu’un.
J’entrais dans sa chambre et lui lançait un petit pic pour la faire réagir.
Elle tourna son regard vers moi puis je la rejoignit devant son armoire.
J’avais eu beau lui demander pourquoi est-ce qu’elle hésitait, elle ne me répondit pas pour autant.
Quand je vous disais que cette fille pouvait être une tombe.
Elle attrapa une robe rose pâle, la voir en robe en dehors des fêtes était…Très rare.
Je lui demandais si elle avait un rendez-vous mais elle me lança une pic à son tour.
Je savais qu’elle allait en rendez-vous mais avec qui, c’était la question à un million.
Elle me prit dans ses bras après quelques minutes en me souhaitant bon voyage puis je quittais sa chambre après lui avoir dit que je l’appellerais et après lui avoir sourit et fais un signe de la main.
Je trainais ma valise laissée dans le couloir puis je descendais les escaliers.
Ma mère m’attendait dans le hall puis je sortais avec elle et allait mettre ma valise dans le coffre.
Mon père nous rejoignit rapidement puis nous roulâmes vers l’aéroport.
Mes parents m’embrassèrent après m’avoir accompagnés dans le hall des départs puis je passais les portiques et allais attendre mon avion dans la grande salle d’attente.
Assise juste en face de la télé, je vis tout à coup ma s½ur et Kenta.
La journaliste parlait des deux changeformes et commençait à dire qu’ils sortaient ensemble comme le prouvait les images.
Mais de quoi est-ce que ces fouines se mêlaient ? Qu’ils les laissent tranquilles !
Je serrais les poings et entendais les commentaires des gens qui étaient en train de regarder les images qui passaient en boucles.
Je détestais ces journalistes qui se mêlaient de nos vies privées ! On y avait droit nous aussi mais ils faisaient une affaire d’état de tout.
Ils foutaient du mal qu’ils pouvaient faire temps qu’ils avaient un scoop.
Comment est-ce que les deux concernaient avaient pris la chose ?


ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:26

Je l'aime bien aussi Kosùke ^^ j'ai hâte de lire les OS sur les deux filles


ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:24

Et en effet je vois qu'il admire beaucoup Kenta et qu'il sert aussi de cobayes à ses soeurs xD


ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:24

bon par contre il attend qu'elle soit majeur c'est bien UU


ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:23

Bwahahahahaha je le savais que c'était de Yoshiko dont il était imprégné depuis le coup du petit déj' je m'en suis doutée Uu


ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:23

Ah et encore une fois c'est trop chou pour Amasa et Nori qu'ils soient déjà imprégnés l'un de l'autre ^0^


ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:21

J'ai beaucoup aimé cet OS aussi.
Kosùke est trop délirant


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