Nakajima Michiko est à la fois mon nom d'auteur et mon nom japonais.
C'est avec ce nom que je tiendrai ce blog.
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ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:26
Je l'aime bien aussi Kosùke ^^ j'ai hâte de lire les OS sur les deux filles
ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:24
Et en effet je vois qu'il admire beaucoup Kenta et qu'il sert aussi de cobayes à ses soeurs xD
ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:24
bon par contre il attend qu'elle soit majeur c'est bien UU
ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:23
Bwahahahahaha je le savais que c'était de Yoshiko dont il était imprégné depuis le coup du petit déj' je m'en suis doutée Uu
ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:23
Ah et encore une fois c'est trop chou pour Amasa et Nori qu'ils soient déjà imprégnés l'un de l'autre ^0^
ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 04:21
J'ai beaucoup aimé cet OS aussi.
Kosùke est trop délirant
ficfantastique, Posté le vendredi 09 septembre 2016 05:26
Et voilà l'OS sur Shion
J’étais rentrée pour quelques jours seulement comme d’habitude.
J’avais un peu plus de temps comme mes examens approchaient alors j’en profitais pour retourner sur Tokyo et passais du temps avec ma famille.
Je me pris un des coussins du salon en pleine face.
Je regardais le lion qui souriait, fière de lui.
Hisaka.
Le fils du second de notre père.
Moi : Ca t’amuse ?
Hisaka : Bien sûr sinon je ne le ferai pas.
Je lui renvoyais mais il esquiva.
Hisaka : Tu restes combien de temps cette fois-ci ?
Moi : Pourquoi ?
Hisaka : Tu peux me le dire non ?
Moi : Je vais te manquer c’est ça alors tu veux t’y préparer psychologiquement ?
Hisaka : Qui a dis que tu allais me manquer ? C’est plutôt moi qui devrait dire ça.
Hisaka me plaisait, beaucoup mais avec la distance qui nous séparait je ne voulais rien lui dire pour l’instant.
Je ne savais pas si je lui plaisais et après tout Hisaka était taquin avec tout le monde alors…
Hisaka : Hoy.
Je le regardais.
Moi : Où est Syohei ?
Hisaka : Bah t’as qu’à dire que tu t’ennuis avec moi aussi.
Il croisa les bras comme un enfant vexé.
Moi : Je dis ça puisque vous êtes toujours fourrés ensemble normalement.
Hisaka : Tu faisais partis du lot avant que tu ne partes étudier ailleurs.
Moi : Être loin de Tokyo me fait du bien.
Hisaka : Tant mieux pour toi.
Pourquoi est-ce qu’il me répondait sur ce ton ?
La porte du manoir s’ouvrit et en sentant l’odeur de celui qui passa le pas de la porte, je me levais du canapé et allais l’accueillir.
Syohei esquissa un sourire en me voyant et j’en fis de même.
Moi : Je suis rentrée.
Syohei : Je vois ça. Bon retour parmi nous.
Moi : Merci.
Syohei : Tu restes combien de temps ?
Moi : Je repars demain.
Hisaka : Je te l’ai demandé et tu m’as même pas répondus ! Merci le favoritisme !
Syohei : Il est de mauvais poil on dirait.
Moi : C’est sûr.
Hisaka : Je vous entend très bien et je ne le suis pas.
Syohei et moi esquissâmes un sourire amusé.
Il n’y avait pas que l’odeur de Syohei sur ses vêtements mais aussi celle de…
Moi : Erina.
Syohei me regarda surprit.
Moi : Tu étais avec elle, non ?
Syohei : On doit faire un exposé tous les deux alors oui.
Erina plaisait à Syohei et la raison pour laquelle il ne lui avait toujours pas dis m’étais encore inconnue et le jeune lion n’était pas tellement bavard sur ce sujet.
Hisaka nous rejoignit dans le hall puis il posa son bras sur mon épaule.
Je le regardais.
Hisaka : Quoi ?
Moi : Ca va ?
Hisaka : Très bien.
Je dégageais son bras de mon épaule.
Syohei : Et si on sortait, on ne va pas restait ici tout le temps où tu es là.
Moi : Ok, allons en ville.
Nous sortîmes tous les trois du manoir puis nous marchâmes dans l’allée et nous passâmes le portail.
J’étais proches des deux lions mais surtout de Hisaka.
Nous avions pratiquement le même âge et nous étions toujours fourrés ensemble petits puis quand Syohei est né, notre duo devint un trio.
Le temps passa vite, trop vite à mon goût mais j’avais le choix d’aller étudier ailleurs et je ne le regretterai pas puis après tout je reviendrai ici une fois mes études terminées et…
Je regardais Hisaka qui était en train de boire sa boisson.
On verra bien la suite.
Syohei m’observa du coin de l’½il, je détournais le regard puis je bus moi aussi ma boisson.
Nous décidâmes tous les trois d’aller au parc d’attractions.
Les gens me reconnaissaient, après tout j’étais la fille cadette du roi des changeformes du Japon mais je ne prêtais pas attention aux regards qu’ils me lançaient ou aux commentaires qu’ils faisaient.
J’étais fière d’être une changeforme et d’être la fille de mes parents peu m’importais ce que eux pouvaient penser.
Syohei : On commence par quoi ?
Moi : Le grand huit.
Hisaka : Non mais t’es malade ?! Et si le truc se casse hein ?
Moi : T’es en train d’insinuer ou quoi là ?
Hisaka : Le prend pas pour toi mais je n’ai pas confiance en ce truc. Imaginez que le propriétaire du manège soit radin et qu’il entretient pas hein. On est pas à l’abri d’un accident.
Syohei et moi échangeâmes un regard.
Moi : Dis clairement que tu as le vertige.
Hisaka : Je n’ai pas le vertige.
Moi : Syohei ?
Syohei : Oui, Shion ?
Moi : Allons-y.
Syohei : Bien princesse.
Il me tendit son bras et je le pris.
Nous éclatâmes de rire tous les deux en nous mettant à marcher alors que Hisaka pestait derrière nous.
Je délirais bien avec Syohei mais je le faisais aussi très bien avec le deuxième fils de l’alpha des guépards : Kosùke.
Il faudrait que je vienne ici avec lui aussi.
Je sentis une main me prendre le poignet et je tournais mon regard vers Hisaka qui garda le sien détournais.
Il me tenait comme si il avait peur de se perdre au milieu de la foule.
Nous arrivâmes enfin devant le grand huit et heureusement pour nous, nous dûmes pas attendre longtemps pour y monter.
Les wagons étaient seulement pour deux personnes alors Syohei laissa Hisaka s’asseoir à côté de moi puis le jeune le lion s’installa sur celui de derrière.
Bon ok, Syohei m’avait grillé mais il ne disait rien et si j’avais envie de parler je savais que je pouvais compter sur lui. C’était un ami loyale et un garçon très gentil.
Je regardais Hisaka qui sentait le stresse à des kilomètres.
Moi : Tu peux toujours descendre.
Il allait me répondre mais l’homme qui s’occupait du grand huit vint abaisser les barres de sécurité avant d’annoncer le départ.
Moi : Ha bah non en faite.
Hisaka : T’es sûre que ça va tenir ?
Je lui tapotais l’épaule.
Moi : On ne sait jamais.
Syohei : Shion.
Moi : Désolée.
J’esquissais un sourire pour rassurer Hisaka.
Les wagons se mirent en mouvements et Hisaka attrapa tout de suite ma main ce qui me fit rougir.
Il avait vraiment le vertige mais il le faisait quand même…
Quelques minutes plus tard, nous descendîmes des wagons puis de l’attraction.
Hisaka était en mode zombi et il me tenait toujours la main.
Il n’avait pas grillé durant les minutes qu’avaient duré le manège mais en revanche il n’avait pas lâché ma main une seule fois et la serrait chaque fois un peu plus.
Syohei : Il va rester dans cet état longtemps…
Moi : On dirait bien.
Hisaka : Je ne veux plus jamais monter sur ce truc.
Moi : Oh il reprend ses esprits.
Syohei : On dirait bien.
Hisaka : Fermez la.
Nous rigolâmes tous les deux puis nous décidâmes de faire quelque chose de moins…vertigineux pour que Hisaka ne refasse pas le zombi.
La nuit tombée, nous étions rentrés chacun chez nos parents.
Après m’être douchée et changée, j’en profitais pour aller discuter un peu avec ma grande s½ur.
Nous étions proches toutes les deux et même si les kilomètres nous séparaient, nous nous appelions aussi souvent qu’on le pouvait.
Je la sentais changé mais Nira cachait très bien ses émotions et si elle décidait de ne rien vous dire alors pouviez toujours l’interroger cette fille était une tombe quand elle s’y mettait.
Le lendemain je faisais déjà ma valise.
Je passais par la chambre de ma s½ur pour lui dire au revoir et je la vis devant son armoire sans bouger.
Elle restait là à fixer ses vêtements.
D’habitude, Nira fait vite son choix quant à la tenue qu’elle porterait mais là c’est comme si elle se demandait si ses vêtements allaient plaire à quelqu’un.
J’entrais dans sa chambre et lui lançait un petit pic pour la faire réagir.
Elle tourna son regard vers moi puis je la rejoignit devant son armoire.
J’avais eu beau lui demander pourquoi est-ce qu’elle hésitait, elle ne me répondit pas pour autant.
Quand je vous disais que cette fille pouvait être une tombe.
Elle attrapa une robe rose pâle, la voir en robe en dehors des fêtes était…Très rare.
Je lui demandais si elle avait un rendez-vous mais elle me lança une pic à son tour.
Je savais qu’elle allait en rendez-vous mais avec qui, c’était la question à un million.
Elle me prit dans ses bras après quelques minutes en me souhaitant bon voyage puis je quittais sa chambre après lui avoir dit que je l’appellerais et après lui avoir sourit et fais un signe de la main.
Je trainais ma valise laissée dans le couloir puis je descendais les escaliers.
Ma mère m’attendait dans le hall puis je sortais avec elle et allait mettre ma valise dans le coffre.
Mon père nous rejoignit rapidement puis nous roulâmes vers l’aéroport.
Mes parents m’embrassèrent après m’avoir accompagnés dans le hall des départs puis je passais les portiques et allais attendre mon avion dans la grande salle d’attente.
Assise juste en face de la télé, je vis tout à coup ma s½ur et Kenta.
La journaliste parlait des deux changeformes et commençait à dire qu’ils sortaient ensemble comme le prouvait les images.
Mais de quoi est-ce que ces fouines se mêlaient ? Qu’ils les laissent tranquilles !
Je serrais les poings et entendais les commentaires des gens qui étaient en train de regarder les images qui passaient en boucles.
Je détestais ces journalistes qui se mêlaient de nos vies privées ! On y avait droit nous aussi mais ils faisaient une affaire d’état de tout.
Ils foutaient du mal qu’ils pouvaient faire temps qu’ils avaient un scoop.
Comment est-ce que les deux concernaient avaient pris la chose ?